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WORKSHOP / EVEIL DE L’EAU
2022
Dans le cadre d'un atelier de design fictif, j'ai travaillé en groupe avec des camarades de classe sur le thème de l'eau, une ressource qui s'épuisera probablement dans le futur.
Aujourd'hui, il existe de grandes inégalités entre les différentes populations quant à l'accessibilité de l'eau. L'exposition "Eveil de l'eau" questionne le rôle du design dans la gestion de l'eau.
Ruisselle et Buée, deux projets sur deux temporalités distinctes questionnent notre utilisation de l'eau au quotidien en s'adressant à un grand public. Notre corps a besoin d'eau pour vivre. Comment se mobiliser pour récupérer cette précieuse ressource au quotidien ? Le design questionne ici notre rapport au corps, à l'eau et à son accessibilité.
Nella Gibus
Cécile Bocquier
Illianah Normand
Violaine Mouret
Lina Maziane
Matérialisation des données du contexte actuel de l'eau sur terre
Ruisselle
Le projet Ruisselle interroge notre implication quotidienne dans la problématique de l'eau. Comme nous le savons, l'eau n'est pas une ressource infinie. Elle a ses limites et se fait de plus en plus rare. Certains d'entre nous y ont un accès limité et peuvent en souffrir. Tant en termes d'hydratation que d'hygiène.
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Comment impliquer chacun d'entre nous à faire des petits gestes pour la planète aujourd’hui ?
Ruisselle, une cape de pluie, nous protège de l'humidité tout en collectant cette denrée rare. Par capillarité, grâce au tissu subtilement cousu, elle parvient à recueillir l'eau de pluie dans des bouteilles cachées sous ses poches. Elle est accompagnée d'un filtre qui élimine toutes les impuretés de l'eau collectée.
Concrètement, elle peut être utilisée pour de nombreux usages, comme se laver les mains, se brosser les dents, arroser nos plantes ou faire du thé. À petite échelle, elle permet de réduire notre consommation personnelle en nous faisant faire des efforts sur les gestes du quotidien. Son utilisation est également un bon moyen de sensibiliser en montrant les quantités concrètes nécessaires pour chaque action.
L'eau n'est plus infinie mais concrète et visible.
Ruisselle, une cape de pluie, nous protège de l'humidité tout en collectant cette denrée rare. Par capillarité, grâce au tissu subtilement cousu, elle parvient à recueillir l'eau de pluie dans des bouteilles cachées sous ses poches. Elle est accompagnée d'un filtre qui élimine toutes les impuretés de l'eau collectée.
Concrètement, elle peut être utilisée pour de nombreux usages, comme se laver les mains, se brosser les dents, arroser nos plantes ou faire du thé. À petite échelle, elle permet de réduire notre consommation personnelle en nous faisant faire des efforts sur les gestes du quotidien. Son utilisation est également un bon moyen de sensibiliser en montrant les quantités concrètes nécessaires pour chaque action.
L'eau n'est plus infinie mais concrète et visible.
Buée
Buée voyage dans le temps, puisqu'elle répond à une problématique lointaine des années 2050. Après plusieurs années à s'inquiéter pour notre monde, nous n'avons pas réussi à arranger les choses.
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Comment faire prendre conscience aux gens de leur consommation d'eau ?
Aujourd'hui, on dit que chaque humain éjecte en moyenne 250ml à 500ml d'eau par jour en respirant. Buée s'approprie alors cette création naturelle du corps pour en faire un atout face à ces problèmes. Concrètement, le projet est un masque permettant la condensation de l'eau grâce à notre respiration. Buée adopte une esthétique absurde pour montrer jusqu'où nous devons aller pour avoir accès à l'eau. Nous sommes invités à porter une extension, comme une prothèse devenant une nécessité pour vivre, pour récupérer l'eau, un besoin vital. Buée nous permet de récupérer l'eau expulsée par notre propre corps. Grâce à elle, nous pouvons nous laver les mains et les dents, boire du thé ou encore arroser nos plantes.
L'avenir annonce un futur de plus en plus incertain et grotesque. Ira-t-on jusqu'à récupérer notre sueur avec un grattoir ? Notre morve grâce à un réservoir planté dans notre nez ou encore des lunettes pour recueillir nos larmes ?
Buée est alors un ornement manifeste nous poussant à nous interroger sur notre façon irrationnelle de consommer l'eau.
Aujourd'hui, on dit que chaque humain éjecte en moyenne 250ml à 500ml d'eau par jour en respirant. Buée s'approprie alors cette création naturelle du corps pour en faire un atout face à ces problèmes. Concrètement, le projet est un masque permettant la condensation de l'eau grâce à notre respiration. Buée adopte une esthétique absurde pour montrer jusqu'où nous devons aller pour avoir accès à l'eau. Nous sommes invités à porter une extension, comme une prothèse devenant une nécessité pour vivre, pour récupérer l'eau, un besoin vital. Buée nous permet de récupérer l'eau expulsée par notre propre corps. Grâce à elle, nous pouvons nous laver les mains et les dents, boire du thé ou encore arroser nos plantes.
L'avenir annonce un futur de plus en plus incertain et grotesque. Ira-t-on jusqu'à récupérer notre sueur avec un grattoir ? Notre morve grâce à un réservoir planté dans notre nez ou encore des lunettes pour recueillir nos larmes ?
Buée est alors un ornement manifeste nous poussant à nous interroger sur notre façon irrationnelle de consommer l'eau.
Nella Gibus
︎︎︎PROJETS
︎︎︎À PROPOS
︎︎︎CONTACT
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WORKSHOP /
EVEIL DE L’EAU
2022
Dans le cadre d'un atelier de design fictif, j'ai travaillé en groupe avec des camarades de classe sur le thème de l'eau, une ressource qui s'épuisera probablement dans le futur.
Aujourd'hui, il existe de grandes inégalités entre les différentes populations quant à l'accessibilité de l'eau. L'exposition "Eveil de l'eau" questionne le rôle du design dans la gestion de l'eau.
Ruisselle et Buée, deux projets sur deux temporalités distinctes questionnent notre utilisation de l'eau au quotidien en s'adressant à un grand public. Notre corps a besoin d'eau pour vivre.
Comment se mobiliser pour récupérer cette précieuse ressource au quotidien ?
Le design questionne ici notre rapport au corps, à l'eau et à son accessibilité.
Nella Gibus
Cécile Bocquier
Illianah Normand
Violaine Mouret
Lina Maziane
︎︎︎PROJETS
︎︎︎À PROPOS
︎︎︎CONTACT
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WORKSHOP /
EVEIL DE L’EAU
2022
Dans le cadre d'un atelier de design fictif, j'ai travaillé en groupe avec des camarades de classe sur le thème de l'eau, une ressource qui s'épuisera probablement dans le futur.
Aujourd'hui, il existe de grandes inégalités entre les différentes populations quant à l'accessibilité de l'eau. L'exposition "Eveil de l'eau" questionne le rôle du design dans la gestion de l'eau.
Ruisselle et Buée, deux projets sur deux temporalités distinctes questionnent notre utilisation de l'eau au quotidien en s'adressant à un grand public. Notre corps a besoin d'eau pour vivre.
Comment se mobiliser pour récupérer cette précieuse ressource au quotidien ?
Le design questionne ici notre rapport au corps, à l'eau et à son accessibilité.
Nella Gibus
Cécile Bocquier
Illianah Normand
Violaine Mouret
Lina Maziane
Matérialisation des données du contexte actuel de l'eau sur terre
Ruisselle
Le projet
Ruisselle interroge notre implication quotidienne dans la problématique de l'eau. Comme nous le savons, l'eau n'est pas une ressource infinie. Certains d'entre nous y ont un accès limité et peuvent en souffrir. Tant en termes d'hydratation que d'hygiène.
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Comment impliquer chacun d'entre nous à faire des petits gestes pour la planète aujourd’hui ?
Ruisselle, une cape de pluie, nous protège de l'humidité tout en collectant cette denrée rare. Par capillarité, grâce au tissu subtilement cousu, elle parvient à recueillir l'eau de pluie dans des bouteilles cachées sous ses poches. Elle est accompagnée d'un filtre qui élimine toutes les impuretés de l'eau collectée.
Concrètement, elle peut être utilisée pour de nombreux usages, comme se laver les mains, se brosser les dents, arroser nos plantes ou faire du thé. À petite échelle, elle permet de réduire notre consommation personnelle en nous faisant faire des efforts sur les gestes du quotidien. Son utilisation est également un bon moyen de sensibiliser en montrant les quantités concrètes nécessaires pour chaque action.
L'eau n'est plus infinie mais concrète et visible.
Ruisselle, une cape de pluie, nous protège de l'humidité tout en collectant cette denrée rare. Par capillarité, grâce au tissu subtilement cousu, elle parvient à recueillir l'eau de pluie dans des bouteilles cachées sous ses poches. Elle est accompagnée d'un filtre qui élimine toutes les impuretés de l'eau collectée.
Concrètement, elle peut être utilisée pour de nombreux usages, comme se laver les mains, se brosser les dents, arroser nos plantes ou faire du thé. À petite échelle, elle permet de réduire notre consommation personnelle en nous faisant faire des efforts sur les gestes du quotidien. Son utilisation est également un bon moyen de sensibiliser en montrant les quantités concrètes nécessaires pour chaque action.
L'eau n'est plus infinie mais concrète et visible.
Buée
Buée voyage dans le temps, puisqu'elle répond à une problématique lointaine des années 2050. Après plusieurs années à s'inquiéter pour notre monde, nous n'avons pas réussi à arranger les choses.
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Comment faire prendre conscience aux gens de leur consommation d'eau ?
Aujourd'hui, on dit que chaque humain éjecte en moyenne 250ml à 500ml d'eau par jour en respirant. Buée s'approprie alors cette création naturelle du corps pour en faire un atout face à ces problèmes. Concrètement, le projet est un masque permettant la condensation de l'eau grâce à notre respiration. Buée adopte une esthétique absurde pour montrer jusqu'où nous devons aller pour avoir accès à l'eau. Nous sommes invités à porter une extension, comme une prothèse devenant une nécessité pour vivre, pour récupérer l'eau, un besoin vital. Buée nous permet de récupérer l'eau expulsée par notre propre corps.
L'avenir annonce un futur de plus en plus incertain et grotesque. Ira-t-on jusqu'à récupérer notre sueur avec un grattoir ? Notre morve grâce à un réservoir planté dans notre nez ou encore des lunettes pour recueillir nos larmes ?
Buée est alors un ornement manifeste nous poussant à nous interroger sur notre façon irrationnelle de consommer l'eau.
Aujourd'hui, on dit que chaque humain éjecte en moyenne 250ml à 500ml d'eau par jour en respirant. Buée s'approprie alors cette création naturelle du corps pour en faire un atout face à ces problèmes. Concrètement, le projet est un masque permettant la condensation de l'eau grâce à notre respiration. Buée adopte une esthétique absurde pour montrer jusqu'où nous devons aller pour avoir accès à l'eau. Nous sommes invités à porter une extension, comme une prothèse devenant une nécessité pour vivre, pour récupérer l'eau, un besoin vital. Buée nous permet de récupérer l'eau expulsée par notre propre corps.
L'avenir annonce un futur de plus en plus incertain et grotesque. Ira-t-on jusqu'à récupérer notre sueur avec un grattoir ? Notre morve grâce à un réservoir planté dans notre nez ou encore des lunettes pour recueillir nos larmes ?
Buée est alors un ornement manifeste nous poussant à nous interroger sur notre façon irrationnelle de consommer l'eau.